Démarrage de la saison 2016 de physique au LHC
Le 25 mars, le Grand collisionneur de hadrons (LHC) du Cern a été remis en service après sa pause hivernale. Accélérateurs et expériences ont fait l’objet de réglages au moyen de faisceaux de faible intensité et de collisions pilotes de protons. Pour la 2ème année consécutive le LHC fonctionnera à une énergie de collision de 13 TeV. Cette montée en énergie ouvre une fenêtre sur un domaine d’énergie encore inexploré. La quantité de données enregistrées en 2016 permettra d’étudier plus en détail ce domaine et de trouver d’éventuels indices de nouvelle physique au dela du modèle standard.
durant la phase de mise en service du LHC, avec des faisceaux de basse intensité (Image : ATLAS)
Les laboratoires français impliqués dans le LHC :
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Centre de physique des particules de Marseille (CNRS/Aix-Marseille Université)
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Institut pluridisciplinaire Hubert Curien (CNRS/Université de Strasbourg)
- Institut de physique nucléaire de Lyon (CNRS/Université de Lyon)
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Institut de physique nucléaire d’Orsay (CNRS/Université Paris-Sud)
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Laboratoire de l’accélérateur linéaire à Orsay (CNRS/Université Paris-Sud)
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Laboratoire d’Annecy le Vieux de physique des particules à Annecy (CNRS/Université de Savoie)
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Laboratoire Leprince-Ringuet à Palaiseau (CNRS/Ecole Polytechnique)
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Laboratoire de physique nucléaire et de hautes énergies à Paris (CNRS/UPMC/Université Paris Diderot)
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Laboratoire de physique subatomique et de cosmologie à Grenoble(CNRS/Université Joseph Fourier)
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Laboratoire de physique subatomique et des technologies associées à Nantes (CNRS/Université de Nantes/Ecole des Mines de Nantes)
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Centre de calcul de l’Institut national de physique nucléaire et de physique des particules du CNRS
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Institut de recherche sur les lois fondamentales de l’Univers (CEA-Irfu)
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